Maroc: Amnesty International instrumentalise des journalistes pour servir ses agendas masqués
L’ONG Amnesty International a publié, le 22 juin 2020, un rapport fallacieux et tendancieux sur la question des Droits de l’Homme au Maroc, en affirmant, sans preuve aucune, que le téléphone portable du journaliste marocain Omar Radi aurait subit des attaques grâce au logiciel espion Pegasus suite au supposé programme secret baptisé « Atlas »et développé par la société israélienne NSO Group.
Face à de telles accusations, les autorités marocaines ont vivement réagi, comme il se devait, en rejetant fermement, le 26 juin 2020, avoir été contactées par Amnesty International sur ce sujet,tout en soulignant que la publication de ce rapport et la mobilisation de 17 organes de presse de par le monde et Le Desk au Maroc, s’inscrivent dans un agenda visant le Maroc.
Une partie de ces organes médiatiques s’est, en effet, bien éloigné des règles déontologiques qui régissent l’honorable profession journalistique pour servir les agendas masqués de l’ONG en question.
Il est bon de rappeler que ce rapport d’Amnesty International sur les pseudo activités de NSO Group en lien avec le Maroc n’est en fait qu’un complément d’une série d’actions entreprises menées depuis près de cinq années par cette ONG dans un bras de fer avec l’entreprise israélienne spécialisée dans les logiciels de surveillance.
Pour ce qui est du parcours professionnel du sieur Omar Radi, l’affidé de service d’Amnesty, celui-ci n’a rien d’exceptionnel. Ce pseudo journaliste s’est fait connaître suite à tweet virulent à l’égard de l’autorité judiciaire marocaine, ce qui provoqua sa convocation devant la justice en décembre 2019 et sa condamnation, le 17 mars 2020, à 04 mois de prison avec sursis et 45 Euros d’amende pour publication diffamatoire à l’endroit d’un magistrat.
Force est donc de constater que toute cette mascarade initiée par Amnesty International n’est qu’un jeu d’influence auquel s’est invitée cette ONG moyennant d’énormes financements pour maquiller l’action des concurrents de NSO en lui donnant la légalité d’une action des Droits de l’Hommiste, en prétendant que les personnes visées sont des défenseurs des Droits de l’Homme et non pas des terrorises comme l’affirme NSO ; ce qui laisse entrevoir une action orchestrée par une entité contre le Royaume du Maroc, raison pour laquelle la justice marocaine a ouvert une enquête sur Omar Radi suspecté d’avoir bénéficier de financements de l’étranger en lien avec des services de renseignement et qu’il a été interrogé le 25 juin 2020 par la police judiciaire marocaine.
Mais, Omar Radi, si prompt à défendre de fausses causes, a simplement refusé de s’exprimer sur cet interrogatoire ce qui est tout simplement un aveu, au regard du droit.
Enfin, pour ce qui est du respect des Droits de l’Homme, Amnesty International ferait mieux de regarder vers d’autres pays, en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Asie, en Afrique autre que le Maroc qui fait de ce dossier une priorité de sa politique judiciaire.
De notre correspondant, Farid Mnebhi