La Guinée au Zénith: Bravo aux organisateurs ! (Libre opinion)
La célébration du projet musical « la Guinée au Zénith », le 3 octobre prochain fait bouger les triples de certaines personnes dans la cité. À tort ou à raison et pour des raisons fallacieuses et égoïstes, les organisateurs sont pris pour cible. Pas étonnant quand on connait l’hyprocrisie, la méchanceté et la sorcellerie qui minent le secteur des arts et du show-biz en Guinée.
Avec toutes ces agitations, j’ai l’impression que c’est maintenant que certains compatriotes découvrent la mythique salle du Zenith de Paris. Pour votre petite information, le Zenith de Paris fonctionne depuis 1984 et a une capacité de 6 mille 804 places. De nombreuses stars africaines, françaises et mondiales y se sont produits. C’est ce qui donne toute la grandeur à cette salle.
Organiser un spectacle ou se produire au Zénith de Paris n’est pas donné à tous. Il faut avoir du cran, de l’ambition, du courage, un savoir-faire, du professionnalisme, des ressources humaines, financières et un talent etc. pour réussir un tel challenge. La Guinée au Zénith devrait être une affaire du gouvernement, de tous. C’est aussi être un bon guinéen. Fier de nous-mêmes partout où nous sommes.
Pour ma part, je dis bravo à toute l’équipe d’Horizon Sound System et à tous les ambassadeurs de la musique guinéenne qui font briller nos couleurs nationales sur la scène internationale.
Vous qui priez, jeûniez et faites des pratiques malsaines pour voir ce projet échoué, continuez vos sales besognes car Dieu voit tout. Ils sont tapis dans l’ombre afin de voir ce projet échoué puis monter sur les grands chevaux pour dire: « nous, on savait ceci, on savait cela ».
L’événement se passe au Zénith de Paris et non au palais du peuple ou au stade du 28 septembre où vos manigances et amateurisme ne finissent jamais. Ce n’est pas un concert communautaire guinéo guinéen. La Guinée au Zénith voit plus grand…
Rendez-vous le dimanche 3 octobre 2021 au Zénith de Paris pour célébrer la musique guinéenne, la musique du monde.
Par Aly Bongo Léno